Ici, on parle de l’actualité LGBTI+ militante !

Rencontres, communiqué de presse ou encore campagnes : vous trouverez toute l’information du terrain ;)

La Fédération LGBTI+ exhorte les parlementaires à s’engager en faveur de la réforme de la PMA.

Suite aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron et à l’avis favorable du CCNE le 27 juin dernier, les personnes souhaitant avoir recours à la Procréation Médicalement Assistée et le mouvement LGBTI sont pleinement engagé·e·s pour l’ouverture de la PMA à toutes et tous.

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A l’occasion de la journée mondiale de lutte contre l’homophobie et la transphobie (le 17 mai), la Fédération LGBTI+ propose des kits de campagne « PMA » aux associations LGBTI+ de France pour une contre-offensive nationale pour l’égalité face à la santé procréative et obstétrique.

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Depuis 2005, la journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie (IDAHOT) se déroule tous les 17 mai, en référence au retrait de l’homosexualité de la liste des maladies mentales le 17 mai 1990. Les associations membres de la Fédération LGBTI+ s’engagent cette année encore pour la lutte contre les LGBTIphobies. Face aux réactionnaires et au gouvernement, la Fédération LGBTI+ défend un accès non-discriminatoire à la PMA et un droit d’asile réellement protecteur des minorités sexuelles.

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Les 10 et 11 février 2018, le Centre LGBTI de Lyon accueillait les 37es rencontres de la Fédération LGBTI+.

La Fédération LGBTI+ a organisé son Assemblée générale annuelle au Centre LGBTI de Lyon (sorti de terre il y a deux ans, et déjà impressionnant de réussite). À cette occasion, des délégations venues de tout le pays (Rennes, Marseille, Bordeaux, Nantes, Nancy, Saintes – La Rochelle, Laval…) se sont déplacées sur les terres de Gérard Collomb, ex-maire de la ville et actuel ministre de l’Intérieur. Pendant deux jours, ces délégations ont témoigné de la vivacité de notre Fédération, et de sa volonté de créer les conditions d’un mouvement LGBTI français unifié et combatif, à l’image des mouvements américains et britanniques.

Au cœur des débats : notre propre organisation bien sûr, mais également les thématiques portées par le secteur associatif LGBTI+. 

Les rapports présentés par le bureau ont été adoptés à l’unanimité. Le travail patient de structuration est suivi de près par nos associations membres. Les statuts de l’association ont été amendés pour aller à la fois vers plus de démocratie et d’efficacité et, surtout, une nouvelle dénomination (Fédération LGBTI+) a été adoptée à l’unanimité, actant l’intégration des revendications intersexes dans son objet. Les débats restent également ouverts sur les autres thématiques portées par la jeunesse queer de notre mouvement.

Cette année sera celle du combat pour l’égalité face à la Procréation Médicalement Assistée. Le gouvernement s’est engagé à intégrer ces débats dans le cadre des « États Généraux de la Bioéthique », sous la houlette du Comité Consultatif National d’Éthique. Ce choix est hautement discutable : certes, la PMA a pu soulever, lorsqu’elle en était à ses balbutiements, des questions d’éthique, une société ayant toujours besoin de débats collectifs afin d’évoluer. Mais ces débats-là sont derrière nous, la PMA étant acquise pour les couples hétérosexuels mariés depuis 2004. Aujourd’hui, c’est uniquement le principe d’égalité de traitement au sein des services de santé procréative qui est violé par la France. Un nouveau recours en justice a d’ailleurs été déposé en ce sens par Marie et Ewenn (voir le communiqué d’ADHEOS). 

Contre cette égalité des droits, les organisations homophobes bénéficient d’un soutien massif des Églises et de  l’État. C’est le cas, par exemple, de la « Fondation Jérôme Lejeune », fondation catholique anti-IVG qui bénéficie du statut de fondation d’utilité publique depuis 1996 (sous le gouvernement d’Alain Juppé), qu’elle met à profit pour combattre le droit à l’IVG et l’ouverture de la PMA aux célibataires et aux couples de même sexe. 

Dérogeant au principe de laïcité, le CCNE accueille par ailleurs en son  « comité plénier » des représentants des cultes qui – cela va hélas de soi – donnent raison aux intégristes pour freiner l’application du principe républicain d’égalité. Face à ce constat, les associations LGBTI s’organisent d’ores et déjà pour obtenir l’application du principe d’égalité des usagères et usagers du service public de la santé procréative.

Autre préoccupation d’importance: ce bateau-ivre du droit d’asile français, présenté par l’État comme un fondement de l’identité nationale, mais qui se traduit dans la pratique par une véritable loterie du droit d’asile. Rappelons qu’il y a au moins autant de personnes LGBTI parmi les demandeur·se·s d’asile que dans la population française (environ 10 %). Nombreux sont celles et ceux qui, ayant échappé à la mort dans leur pays d’origine, frappent à nos portes pour demander secours. Ces personnes trouvent en face d’elles de simples bénévoles qui font souvent un travail qui devrait être accompli ailleurs par des professionnel·le·s. Le projet de loi déposé mercredi 21 février dernier est totalement en décalage avec la réalité vécue au quotidien, celle d’un abattage administratif des demandes et d’erreurs graves qui mettent en péril le système.

Dans ce contexte hostile, les défis posés à nos associations sont nombreux. Nous devons souvent travailler contre l’indifférence coupable des pouvoirs publics. Il aura fallu batailler pour que les membres du gouvernement s’expriment sur les nombreux actes homophobes récemment rendus publics.

Les délégué·e·s ont également exprimé leur solidarité à NOSIG (Centre LGBTI de Nantes) dont la subvention a été annulée par une décision du Tribunal administratif de Nantes. (voir communiqué)

Alors que les adversaires de l’égalité bénéficient du soutien de l’État, la militance LGBTI doit s’organiser et se réarmer nationalement pour promouvoir le principe d’égalité et combattre l’intégrisme. Nous avons aussi tiré des conclusions de l’échec des États Généraux LGBTI organisés en 2014, aux débats passionnants mais sans débouché concret, en nous recentrant sur des objectifs nationaux en toute autonomie. 

L’équipe de direction s’est étoffée de deux nouveaux visages, jeune et femme, issus de la diversité LGBTI+ (voir infra) et met désormais en place des réseaux de compétence destinés à coordonner les ressources humaines du mouvement dans toute la France. Après un bon bilan, sur quatre années bien remplies, Stéphanie Nicot – qui a été la première femme et la première personne transgenre à présider notre Fédération – a souhaité passer la main de la présidence, tout en restant membre de l’équipe de direction. Cette fois, c’est la jeunesse qui a été portée à la présidence. C’est un signe de plus qu’à la Fédération LGBTI+, en interne comme dans toute la société, ce qui prime, c’est le collectif et l’intérêt général. 

DIRECTION DE LA FÉDÉRATION LGBTI+

  • Antonin Le Mée (CGLBT Rennes – Centre LGBTI), Président
  • Stéphanie Nicot (Association Nationale Transgenre), Vice-présidente
  • Jérémy Baudoin (Equinoxe · Centre LGBTI+ de Nancy), Secrétaire
  • Jean-Christophe Testu (Le Girofard, Bordeaux), Trésorier
  • Kévin Galet (Equinoxe · Centre LGBTI+ de Nancy), Porte-parole
  • Thomas Cepitelli (Polychromes, Nice), Administrateur
  • Sarah Saby (Collectif IDEM, Marseille), Administratrice
  • Yann Goudard (CGLBT Rennes – Centre LGBTI), Administrateur

À l’occasion de la journée internationale pour les droits des femmes, la Fédération LGBTI+ rappelle qu’elle promeut l’égalité entre femmes et hommes, ainsi que l’alliance du mouvement LGBTI avec la majorité inclusive des courants féministes.

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Déclaration suite à l’Assemblée générale 2018 de la Fédération LGBTI+
 
Les 10 et 11 février 2018, le Centre LGBTI de Lyon accueillait les 37es rencontres de la Fédération LGBTI+.
 
La Fédération LGBTI+ a organisé son Assemblée générale annuelle au Centre LGBTI de Lyon (sorti de terre il y a deux ans, et déjà impressionnant de réussite). À cette occasion, des délégations venues de tout le pays (Rennes, Marseille, Bordeaux, Nantes, Nancy, Saintes – La Rochelle, Laval…) se sont déplacées sur les terres de Gérard Collomb, ex-maire de la ville et actuel ministre de l’Intérieur. Pendant deux jours, ces délégations ont témoigné de la vivacité de notre Fédération, et de sa volonté de créer les conditions d’un mouvement LGBTI français unifié et combatif, à l’image des mouvements américains et britanniques.
 
Au cœur des débats : notre propre organisation bien sûr, mais également les thématiques portées par le secteur associatif LGBTI+.
 
Les rapports présentés par le bureau ont été adoptés à l’unanimité. Le travail patient de structuration est suivi de près par nos associations membres. Les statuts de l’association ont été amendés pour aller à la fois vers plus de démocratie et d’efficacité et, surtout, une nouvelle dénomination (Fédération LGBTI+) a été adoptée à l’unanimité, actant l’intégration des revendications intersexes dans son objet. Les débats restent également ouverts sur les autres thématiques portées par la jeunesse queer de notre mouvement.
 
Cette année sera celle du combat pour l’égalité face à la Procréation Médicalement Assistée. Le gouvernement s’est engagé à intégrer ces débats dans le cadre des « États Généraux de la Bioéthique », sous la houlette du Comité Consultatif National d’Éthique. Ce choix est hautement discutable : certes, la PMA a pu soulever, lorsqu’elle en était à ses balbutiements, des questions d’éthique, une société ayant toujours besoin de débats collectifs afin d’évoluer. Mais ces débats-là sont derrière nous, la PMA étant acquise pour les couples hétérosexuels mariés depuis 2004. Aujourd’hui, c’est uniquement le principe d’égalité de traitement au sein des services de santé procréative qui est violé par la France. Un nouveau recours en justice a d’ailleurs été déposé en ce sens par Marie et Ewenn (voir le communiqué d’ADHEOS).
Contre cette égalité des droits, les organisations homophobes bénéficient d’un soutien massif des Églises et de l’État. C’est le cas, par exemple, de la « Fondation Jérôme Lejeune », fondation catholique anti-IVG qui bénéficie du statut de fondation d’utilité publique depuis 1996 (sous le gouvernement d’Alain Juppé), qu’elle met à profit pour combattre le droit à l’IVG et l’ouverture de la PMA aux célibataires et aux couples de même sexe.
Dérogeant au principe de laïcité, le CCNE accueille par ailleurs en son « comité plénier » des représentants des cultes qui – cela va hélas de soi – donnent raison aux intégristes pour freiner l’application du principe républicain d’égalité. Face à ce constat, les associations LGBTI s’organisent d’ores et déjà pour obtenir l’application du principe d’égalité des usagères et usagers du service public de la santé procréative.
 
Autre préoccupation d’importance: ce bateau-ivre du droit d’asile français, présenté par l’État comme un fondement de l’identité nationale, mais qui se traduit dans la pratique par une véritable loterie du droit d’asile. Rappelons qu’il y a au moins autant de personnes LGBTI parmi les demandeur·se·s d’asile que dans la population française (environ 10 %). Nombreux sont celles et ceux qui, ayant échappé à la mort dans leur pays d’origine, frappent à nos portes pour demander secours. Ces personnes trouvent en face d’elles de simples bénévoles qui font souvent un travail qui devrait être accompli ailleurs par des professionnel·le·s. Le projet de loi déposé mercredi 21 février dernier est totalement en décalage avec la réalité vécue au quotidien, celle d’un abattage administratif des demandes et d’erreurs graves qui mettent en péril le système.
 
Dans ce contexte hostile, les défis posés à nos associations sont nombreux. Nous devons souvent travailler contre l’indifférence coupable des pouvoirs publics. Il aura fallu batailler pour que les membres du gouvernement s’expriment sur les nombreux actes homophobes récemment rendus publics.
Les délégué·e·s ont également exprimé leur solidarité à NOSIG (Centre LGBTI de Nantes) dont la subvention a été annulée par une décision du Tribunal administratif de Nantes. (voir communiqué)
Alors que les adversaires de l’égalité bénéficient du soutien de l’État, la militance LGBTI doit s’organiser et se réarmer nationalement pour promouvoir le principe d’égalité et combattre l’intégrisme. Nous avons aussi tiré des conclusions de l’échec des États Généraux LGBTI organisés en 2014, aux débats passionnants mais sans débouché concret, en nous recentrant sur des objectifs nationaux en toute autonomie.
 
L’équipe de direction s’est étoffée de deux nouveaux visages, jeune et femme, issus de la diversité LGBTI+ (voir infra) et met désormais en place des réseaux de compétence destinés à coordonner les ressources humaines du mouvement dans toute la France. Après un bon bilan, sur quatre années bien remplies, Stéphanie Nicot – qui a été la première femme et la première personne transgenre à présider notre Fédération – a souhaité passer la main de la présidence, tout en restant membre de l’équipe de direction. Cette fois, c’est la jeunesse qui a été portée à la présidence. C’est un signe de plus qu’à la Fédération LGBTI+, en interne comme dans toute la société, ce qui prime, c’est le collectif et l’intérêt général.
 
DIRECTION DE LA FÉDÉRATION LGBTI+
Antonin Le Mée (CGLBT Rennes – Centre LGBTI), Président
Stéphanie Nicot (Association Nationale Transgenre), Vice-présidente
Jérémy Baudoin (Equinoxe · Centre LGBTI+ de Nancy), Secr&
eacute;taire
Jean-Christophe Testu (Le Girofard, Bordeaux), Trésorier
Kévin Galet (Equinoxe · Centre LGBTI+ de Nancy), Porte-parole
Thomas Cepitelli (Polychromes, Nice), Administrateur
Sarah Saby (Collectif IDEM, Marseille), Administratrice
Yann Goudard (CGLBT Rennes – Centre LGBTI), Administrateur
 
Contact presse :
– Kévin Galet, porte-parole, 06.11.98.11.69
– Antonin Le Mée, président, 06.88.76.82.01
– Stéphanie Nicot, vice-présidente, 06.14.69.63.51
– contact@federation-lgbt.org
 
 
 
 

Partout en France, les associations membres de la Fédération LGBTI+ accompagnent des réfugié⋅e⋅s LGBTI qui demandent asile à la France. Ces personnes fuient les persécutions dans leur pays en raison de leur orientation sexuelle, leur identité de genre ou leur expression de genre. Victimes de persécutions dans leur pays d’origine (ostracisation, brimades, viols, meurtre de leur conjoint·e), elles fuient la mort qui les guettait à chaque instant.

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Réunis à Lyon le 10 et 11 février lors de leurs rencontres nationales, les centres et associations LGBTI+ de France s’indignent de la décision du Tribunal administratif de Nantes annulant la subvention de NOSIG – Centre LGBTI+ de Nantes.

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Le TDoR, journée mondiale en mémoire des victimes de la transphobie dans le monde, rappelle chaque 20 novembre que des centaines de personnes transgenres sont assassinées et torturées chaque année. Elles sont mortes tout simplement pour avoir osé vivre leur identité de genre au grand jour, et pour avoir voulu se construire un avenir malgré toutes les menaces, les violences, et les discriminations que les États maintiennent, ou mettent en place.
 
La transphobie est mondiale
 
Nombreuses sont les personnes transgenres assassinées parce qu’elles s’assument, nombreuses aussi à faire des tentatives de suicide parce qu’elles n’ont aucun moyen de vivre dignement leur identité de genre, et qu’elles sont poussées à bout, au lycée, au travail ou dans leur quartier par un harcèlement permanent. Cette situation insupportable n’est pas une fatalité, mais bel est bien le fruit d’une haine de la diversité des identités de genre, d’une volonté d’éradication portée par des gouvernement dictatoriaux ou simplement indifférents, trop souvent soutenues par des institutions religieuses archaïques et mortifères, gardiennes des inégalités hommes-femmes érigées en modèle social. Diffusant leurs messages de rejet et de haine, elles ont leur part de responsabilité dans cette transphobie.
Mais les principaux responsables sont les chefs d’États et de gouvernements qui mènent des politiques laxistes envers la haine transphobe, lorsqu’ils ne votent pas eux-mêmes des lois construisant dans leur pays un climat de rejet et de violence envers les personnes transgenres : dans cette longue liste, citons des gouvernements aussi divers que ceux des États-Unis, de la Fédération de Russie, de l’Arabie Saoudite, de la Pologne, de la Tchétchénie, ou du Brésil, sans oublier la majeure partie du continent africain. Les personnes transgenres assassinées, ou succombant à leurs tentatives de suicide, relèvent de causes bien définies, mais trop faiblement combattues, y compris par des pays se réclamant haut et fort des droits de l’homme comme la France ! La preuve ? Le 6 avril 2017, la CEDH (Cour Européenne des Droits de l’Homme) a condamné la France pour stérilisation forcée dans le cadre de deux procédures judiciaires menées par l’Association Nationale Transgenre, et soutenues par la Fédération LGBT. Une flétrissure pour un pays qui se réclame sur la scène internationale des droits humains !
 
La France, doit changer d’attitude !
 
Si la France n’affiche pas un fort taux de crimes envers les personnes transgenres, cela ne signifie pas qu’il n’y a pas de haine transphobe, et que notre pays mette tout en œuvre pour lutter contre les violences à raison de l’identité de genre ! Au contraire, l’État y organise encore une transphobie judiciaire et médicale à travers un changement d’état civil ne s’inscrivant pas dans une procédure libre et gratuite, et en tolérant dans nos hôpitaux publics la présence d’équipes médicales transphobes, maltraitantes et stigmatisantes, qui violent ouvertement les droits des patient·e·s transgenres. Qui plus est, ces dernières années, on assiste à une libération de la parole LGBT-phobe, notamment à l’encontre des personnes transgenres, avec leurs conséquences. Rappelons qu’une violente agression transphobe a eu lieu en 2017 devant le Centre LGBT de Paris, et que malgré de nombreux témoins, l’agresseur n’a toujours pas été condamné !
 
Les pouvoirs publics, face à cette situation, n’engagent aucune politique ambitieuse et volontariste pouvant donner l’exemple aux nombreux pays où la transphobie sévit violemment, même si – première lueur d’espoir – le Défenseur des Droits et la DILCRAH se mobilisent désormais pour faire bouger les lignes.
 
Ce 20 novembre 2017 vise aussi à amener le Président de la République, le gouvernement et la majorité parlementaire à une prise de conscience : la transphobie tue, blesse, et dégrade nos valeurs républicaines. Il est temps d’agir car, pendant que vous avez lu ce texte, des personnes transgenres ont été tuées qui auraient qui pu construire, produire, faire avancer le savoir et la culture, être des acteurs et actrices de votre vie quotidienne, sauver des vies, comme d’autres qui ont eu la chance de ne pas être tomber sous les coup de la haine.
 
Le TDoR est un jour de deuil. Faisons-en aussi un jour de mobilisation et d’espoir !
 
Contacts :
– Stéphanie Nicot • Présidente de la Fédération LGBT • 06.14.69.63.51 • contact@federation-lgbt.org
– Delphine Ravisé-Giard • Présidente de l’Association Nationale Transgenre • 06.11.63.48.00 • porte.parole@ant-france.eu

Ce vendredi 1er décembre se tient la Journée Mondiale de Lutte contre le Sida (JMLS), qui depuis 1988 permet notamment aux acteurs associatifs de sensibiliser grand public et décideurs aux enjeux de la lutte pour la fin de l’épidémie.

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