Ici, on parle de l’actualité LGBTI+ militante !

Rencontres, communiqué de presse ou encore campagnes : vous trouverez toute l’information du terrain ;)

Mercredi 3 octobre, la commission des affaires sociales a adopté un amendement visant à mettre fin au traitement différencié des hommes homosexuels et bisexuels face au don du sang. La Fédération LGBTI+ appelle les parlementaires à entériner la fin de cette différence de traitement.

L’ouverture du don du sang aux personnes HSH (Hommes ayant ou ayant eu des rapports Sexuels avec d’autres Hommes) est un combat engagé de longue date par le mouvement LGBTI+. En usage depuis 1983, ce traitement différencié n’a en effet plus lieu d’être, notamment en raison des progrès considérables des techniques de dépistage (depuis 1985) et de prévention contre le VIH. 

Dans les circonstances actuelles, la Fédération LGBTI+ considère qu’il est temps de mettre fin aux différences de traitement : pour assurer la sécurité du système transfusionnel contre la transmission des IST, le médecin-préleveur doit prendre en considération les pratiques sexuelles et non l’appartenance, réelle ou supposée, des donneuses et des donneurs à une orientation sexuelle. Au-delà des dimensions scientifique, politique et juridique, une réflexion éthique sur le don du sang s’imposait.

C’est vers cette situation que se dirige aujourd’hui le système transfusionnel fondé sur la gratuité. En effet, l’amendement adopté mercredi dernier en séance par la commission des affaires sociales instaure l’égalité de traitement des usagers donneurs. Aussi politique soit cet amendement, il fait écho au plaidoyer des associations qui ont su démontrer que le traitement différencié n’apporte aucun surcroît de sécurité et que les arguments contraires ne reposent pas sur des bases scientifiques suffisamment solides.

Dans ces conditions, la Fédération LGBTI+ appelle les députés à adopter cet amendement en séance plénière le 11 octobre prochain. Nous appelons également le Ministère de la Santé Publique à adopter rapidement un nouvel arrêté concernant la sélection des donneurs, à adjoindre à cet arrêté une réflexion éthique sur la pratique de la sélection des donneurs par le médecin-préleveur et, enfin, à responsabiliser les donneuses et les donneurs sur leur pratique du don du sang.

Nous rappelons également qu’il incombe à l’Etat de renforcer ses dispositifs de dépistage en amont des opérations de don du sang.

Ce mardi 25 septembre 2018, le Comité Consultatif National d’Éthique a remis son rapport très attendu portant sur plusieurs questions dites de bioéthique : PMA, GPA, accès aux origines, fin de vie.
 
À l’image de son précédent avis de juin 2017, le CCNE s’est prononcé favorablement à l’ouverture de la Procréation Médicalement Assistée (PMA) aux couples de femmes et aux femmes seules. La grande « consultation nationale » qui a abouti à cet avis ne s’était pourtant pas réalisée avec un rapport de force favorable, avec des réunions publiques investies dans une très large majorité par des militant·e·s violemment anti-PMA, anti-IVG et anti-droits LGBTI.
La Fédération LGBTI+ se félicite donc de cette prise de position progressiste et égalitaire, mais regrette qu’elle ne concerne pas toutes les personnes en mesure de porter un enfant (hommes transgenres et personnes intersexes inclus·es).
 
À l’image de son prédécesseur François Hollande, Emmanuel Macron avait dégainé la carte CCNE pour temporiser cette question sujette à vifs débats, particulièrement contestée par les milieux intégristes et homophobes. L’actuel Président, soucieux de « ne pas humilier à nouveau La Manif pour Tous », a aujourd’hui entre les mains 2 avis favorables du CCNE, 1 avis favorable de l’Ordre des médecins, des sondages d’opinion majoritairement pro-PMA pour toutes, et une majorité prétendument du même avis à l’Assemblée nationale.
Le Président de la République, le Gouvernement et le Parlement doivent maintenir agir vite et bien en votant une loi respectueuse de la réalité de la diversité des modèles familiaux, ou en assumant d’être contre cette mesure d’égalité.
 
Alors que la Manif pour Tous et l’ensemble de ses porte-valises sont en pleine tournée médiatique pour annoncer une énième fois l’Apocalypse, en déversant leur haine des personnes et des familles LGBTI+ sous couvert de protection de l’enfant (où est ce zèle lorsqu’il s’agit de combattre les prêtres coupables de violences sexuelles ?), l’intégrité psychologique et physique des personnes LGBTI est en jeu. Depuis fin 2012 et les premières mobilisations de la Manif pour Tous contre la « loi Taubira », les agressions LGBTI-phobes ont considérablement augmenté et ne reculent plus significativement, en raison d’une libération de la parole haineuse.
 
Emmanuel Macron et les parlementaires LREM ne peuvent plus se cacher derrière leur petit doigt et doivent désormais assumer leurs responsabilités.
 
Contact presse :
– Kévin Galet, porte-parole, 06.11.98.11.69
– Antonin Le Mée, président, 06.88.76.82.01
– contact@federation-lgbt.org

Mardi 12 juin, le Tribunal de Grande Instance de Lyon a rendu sa décision concernant Fodé Moussa Camara, alias Moussa, demandeur d’asile homosexuel guinéen (et militant de AIDES à Nîmes) poursuivi pour avoir refusé d’embarquer dans l’avion qui le chassait du territoire français en mai dernier.

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La Fédération LGBTI+ exhorte les parlementaires à s’engager en faveur de la réforme de la PMA.

Suite aux promesses de campagne d’Emmanuel Macron et à l’avis favorable du CCNE le 27 juin dernier, les personnes souhaitant avoir recours à la Procréation Médicalement Assistée et le mouvement LGBTI sont pleinement engagé·e·s pour l’ouverture de la PMA à toutes et tous.

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A l’occasion de la journée mondiale de lutte contre l’homophobie et la transphobie (le 17 mai), la Fédération LGBTI+ propose des kits de campagne « PMA » aux associations LGBTI+ de France pour une contre-offensive nationale pour l’égalité face à la santé procréative et obstétrique.

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Depuis 2005, la journée internationale de lutte contre l’homophobie et la transphobie (IDAHOT) se déroule tous les 17 mai, en référence au retrait de l’homosexualité de la liste des maladies mentales le 17 mai 1990. Les associations membres de la Fédération LGBTI+ s’engagent cette année encore pour la lutte contre les LGBTIphobies. Face aux réactionnaires et au gouvernement, la Fédération LGBTI+ défend un accès non-discriminatoire à la PMA et un droit d’asile réellement protecteur des minorités sexuelles.

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Les 10 et 11 février 2018, le Centre LGBTI de Lyon accueillait les 37es rencontres de la Fédération LGBTI+.

La Fédération LGBTI+ a organisé son Assemblée générale annuelle au Centre LGBTI de Lyon (sorti de terre il y a deux ans, et déjà impressionnant de réussite). À cette occasion, des délégations venues de tout le pays (Rennes, Marseille, Bordeaux, Nantes, Nancy, Saintes – La Rochelle, Laval…) se sont déplacées sur les terres de Gérard Collomb, ex-maire de la ville et actuel ministre de l’Intérieur. Pendant deux jours, ces délégations ont témoigné de la vivacité de notre Fédération, et de sa volonté de créer les conditions d’un mouvement LGBTI français unifié et combatif, à l’image des mouvements américains et britanniques.

Au cœur des débats : notre propre organisation bien sûr, mais également les thématiques portées par le secteur associatif LGBTI+. 

Les rapports présentés par le bureau ont été adoptés à l’unanimité. Le travail patient de structuration est suivi de près par nos associations membres. Les statuts de l’association ont été amendés pour aller à la fois vers plus de démocratie et d’efficacité et, surtout, une nouvelle dénomination (Fédération LGBTI+) a été adoptée à l’unanimité, actant l’intégration des revendications intersexes dans son objet. Les débats restent également ouverts sur les autres thématiques portées par la jeunesse queer de notre mouvement.

Cette année sera celle du combat pour l’égalité face à la Procréation Médicalement Assistée. Le gouvernement s’est engagé à intégrer ces débats dans le cadre des « États Généraux de la Bioéthique », sous la houlette du Comité Consultatif National d’Éthique. Ce choix est hautement discutable : certes, la PMA a pu soulever, lorsqu’elle en était à ses balbutiements, des questions d’éthique, une société ayant toujours besoin de débats collectifs afin d’évoluer. Mais ces débats-là sont derrière nous, la PMA étant acquise pour les couples hétérosexuels mariés depuis 2004. Aujourd’hui, c’est uniquement le principe d’égalité de traitement au sein des services de santé procréative qui est violé par la France. Un nouveau recours en justice a d’ailleurs été déposé en ce sens par Marie et Ewenn (voir le communiqué d’ADHEOS). 

Contre cette égalité des droits, les organisations homophobes bénéficient d’un soutien massif des Églises et de  l’État. C’est le cas, par exemple, de la « Fondation Jérôme Lejeune », fondation catholique anti-IVG qui bénéficie du statut de fondation d’utilité publique depuis 1996 (sous le gouvernement d’Alain Juppé), qu’elle met à profit pour combattre le droit à l’IVG et l’ouverture de la PMA aux célibataires et aux couples de même sexe. 

Dérogeant au principe de laïcité, le CCNE accueille par ailleurs en son  « comité plénier » des représentants des cultes qui – cela va hélas de soi – donnent raison aux intégristes pour freiner l’application du principe républicain d’égalité. Face à ce constat, les associations LGBTI s’organisent d’ores et déjà pour obtenir l’application du principe d’égalité des usagères et usagers du service public de la santé procréative.

Autre préoccupation d’importance: ce bateau-ivre du droit d’asile français, présenté par l’État comme un fondement de l’identité nationale, mais qui se traduit dans la pratique par une véritable loterie du droit d’asile. Rappelons qu’il y a au moins autant de personnes LGBTI parmi les demandeur·se·s d’asile que dans la population française (environ 10 %). Nombreux sont celles et ceux qui, ayant échappé à la mort dans leur pays d’origine, frappent à nos portes pour demander secours. Ces personnes trouvent en face d’elles de simples bénévoles qui font souvent un travail qui devrait être accompli ailleurs par des professionnel·le·s. Le projet de loi déposé mercredi 21 février dernier est totalement en décalage avec la réalité vécue au quotidien, celle d’un abattage administratif des demandes et d’erreurs graves qui mettent en péril le système.

Dans ce contexte hostile, les défis posés à nos associations sont nombreux. Nous devons souvent travailler contre l’indifférence coupable des pouvoirs publics. Il aura fallu batailler pour que les membres du gouvernement s’expriment sur les nombreux actes homophobes récemment rendus publics.

Les délégué·e·s ont également exprimé leur solidarité à NOSIG (Centre LGBTI de Nantes) dont la subvention a été annulée par une décision du Tribunal administratif de Nantes. (voir communiqué)

Alors que les adversaires de l’égalité bénéficient du soutien de l’État, la militance LGBTI doit s’organiser et se réarmer nationalement pour promouvoir le principe d’égalité et combattre l’intégrisme. Nous avons aussi tiré des conclusions de l’échec des États Généraux LGBTI organisés en 2014, aux débats passionnants mais sans débouché concret, en nous recentrant sur des objectifs nationaux en toute autonomie. 

L’équipe de direction s’est étoffée de deux nouveaux visages, jeune et femme, issus de la diversité LGBTI+ (voir infra) et met désormais en place des réseaux de compétence destinés à coordonner les ressources humaines du mouvement dans toute la France. Après un bon bilan, sur quatre années bien remplies, Stéphanie Nicot – qui a été la première femme et la première personne transgenre à présider notre Fédération – a souhaité passer la main de la présidence, tout en restant membre de l’équipe de direction. Cette fois, c’est la jeunesse qui a été portée à la présidence. C’est un signe de plus qu’à la Fédération LGBTI+, en interne comme dans toute la société, ce qui prime, c’est le collectif et l’intérêt général. 

DIRECTION DE LA FÉDÉRATION LGBTI+

  • Antonin Le Mée (CGLBT Rennes – Centre LGBTI), Président
  • Stéphanie Nicot (Association Nationale Transgenre), Vice-présidente
  • Jérémy Baudoin (Equinoxe · Centre LGBTI+ de Nancy), Secrétaire
  • Jean-Christophe Testu (Le Girofard, Bordeaux), Trésorier
  • Kévin Galet (Equinoxe · Centre LGBTI+ de Nancy), Porte-parole
  • Thomas Cepitelli (Polychromes, Nice), Administrateur
  • Sarah Saby (Collectif IDEM, Marseille), Administratrice
  • Yann Goudard (CGLBT Rennes – Centre LGBTI), Administrateur

À l’occasion de la journée internationale pour les droits des femmes, la Fédération LGBTI+ rappelle qu’elle promeut l’égalité entre femmes et hommes, ainsi que l’alliance du mouvement LGBTI avec la majorité inclusive des courants féministes.

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Déclaration suite à l’Assemblée générale 2018 de la Fédération LGBTI+
 
Les 10 et 11 février 2018, le Centre LGBTI de Lyon accueillait les 37es rencontres de la Fédération LGBTI+.
 
La Fédération LGBTI+ a organisé son Assemblée générale annuelle au Centre LGBTI de Lyon (sorti de terre il y a deux ans, et déjà impressionnant de réussite). À cette occasion, des délégations venues de tout le pays (Rennes, Marseille, Bordeaux, Nantes, Nancy, Saintes – La Rochelle, Laval…) se sont déplacées sur les terres de Gérard Collomb, ex-maire de la ville et actuel ministre de l’Intérieur. Pendant deux jours, ces délégations ont témoigné de la vivacité de notre Fédération, et de sa volonté de créer les conditions d’un mouvement LGBTI français unifié et combatif, à l’image des mouvements américains et britanniques.
 
Au cœur des débats : notre propre organisation bien sûr, mais également les thématiques portées par le secteur associatif LGBTI+.
 
Les rapports présentés par le bureau ont été adoptés à l’unanimité. Le travail patient de structuration est suivi de près par nos associations membres. Les statuts de l’association ont été amendés pour aller à la fois vers plus de démocratie et d’efficacité et, surtout, une nouvelle dénomination (Fédération LGBTI+) a été adoptée à l’unanimité, actant l’intégration des revendications intersexes dans son objet. Les débats restent également ouverts sur les autres thématiques portées par la jeunesse queer de notre mouvement.
 
Cette année sera celle du combat pour l’égalité face à la Procréation Médicalement Assistée. Le gouvernement s’est engagé à intégrer ces débats dans le cadre des « États Généraux de la Bioéthique », sous la houlette du Comité Consultatif National d’Éthique. Ce choix est hautement discutable : certes, la PMA a pu soulever, lorsqu’elle en était à ses balbutiements, des questions d’éthique, une société ayant toujours besoin de débats collectifs afin d’évoluer. Mais ces débats-là sont derrière nous, la PMA étant acquise pour les couples hétérosexuels mariés depuis 2004. Aujourd’hui, c’est uniquement le principe d’égalité de traitement au sein des services de santé procréative qui est violé par la France. Un nouveau recours en justice a d’ailleurs été déposé en ce sens par Marie et Ewenn (voir le communiqué d’ADHEOS).
Contre cette égalité des droits, les organisations homophobes bénéficient d’un soutien massif des Églises et de l’État. C’est le cas, par exemple, de la « Fondation Jérôme Lejeune », fondation catholique anti-IVG qui bénéficie du statut de fondation d’utilité publique depuis 1996 (sous le gouvernement d’Alain Juppé), qu’elle met à profit pour combattre le droit à l’IVG et l’ouverture de la PMA aux célibataires et aux couples de même sexe.
Dérogeant au principe de laïcité, le CCNE accueille par ailleurs en son « comité plénier » des représentants des cultes qui – cela va hélas de soi – donnent raison aux intégristes pour freiner l’application du principe républicain d’égalité. Face à ce constat, les associations LGBTI s’organisent d’ores et déjà pour obtenir l’application du principe d’égalité des usagères et usagers du service public de la santé procréative.
 
Autre préoccupation d’importance: ce bateau-ivre du droit d’asile français, présenté par l’État comme un fondement de l’identité nationale, mais qui se traduit dans la pratique par une véritable loterie du droit d’asile. Rappelons qu’il y a au moins autant de personnes LGBTI parmi les demandeur·se·s d’asile que dans la population française (environ 10 %). Nombreux sont celles et ceux qui, ayant échappé à la mort dans leur pays d’origine, frappent à nos portes pour demander secours. Ces personnes trouvent en face d’elles de simples bénévoles qui font souvent un travail qui devrait être accompli ailleurs par des professionnel·le·s. Le projet de loi déposé mercredi 21 février dernier est totalement en décalage avec la réalité vécue au quotidien, celle d’un abattage administratif des demandes et d’erreurs graves qui mettent en péril le système.
 
Dans ce contexte hostile, les défis posés à nos associations sont nombreux. Nous devons souvent travailler contre l’indifférence coupable des pouvoirs publics. Il aura fallu batailler pour que les membres du gouvernement s’expriment sur les nombreux actes homophobes récemment rendus publics.
Les délégué·e·s ont également exprimé leur solidarité à NOSIG (Centre LGBTI de Nantes) dont la subvention a été annulée par une décision du Tribunal administratif de Nantes. (voir communiqué)
Alors que les adversaires de l’égalité bénéficient du soutien de l’État, la militance LGBTI doit s’organiser et se réarmer nationalement pour promouvoir le principe d’égalité et combattre l’intégrisme. Nous avons aussi tiré des conclusions de l’échec des États Généraux LGBTI organisés en 2014, aux débats passionnants mais sans débouché concret, en nous recentrant sur des objectifs nationaux en toute autonomie.
 
L’équipe de direction s’est étoffée de deux nouveaux visages, jeune et femme, issus de la diversité LGBTI+ (voir infra) et met désormais en place des réseaux de compétence destinés à coordonner les ressources humaines du mouvement dans toute la France. Après un bon bilan, sur quatre années bien remplies, Stéphanie Nicot – qui a été la première femme et la première personne transgenre à présider notre Fédération – a souhaité passer la main de la présidence, tout en restant membre de l’équipe de direction. Cette fois, c’est la jeunesse qui a été portée à la présidence. C’est un signe de plus qu’à la Fédération LGBTI+, en interne comme dans toute la société, ce qui prime, c’est le collectif et l’intérêt général.
 
DIRECTION DE LA FÉDÉRATION LGBTI+
Antonin Le Mée (CGLBT Rennes – Centre LGBTI), Président
Stéphanie Nicot (Association Nationale Transgenre), Vice-présidente
Jérémy Baudoin (Equinoxe · Centre LGBTI+ de Nancy), Secr&
eacute;taire
Jean-Christophe Testu (Le Girofard, Bordeaux), Trésorier
Kévin Galet (Equinoxe · Centre LGBTI+ de Nancy), Porte-parole
Thomas Cepitelli (Polychromes, Nice), Administrateur
Sarah Saby (Collectif IDEM, Marseille), Administratrice
Yann Goudard (CGLBT Rennes – Centre LGBTI), Administrateur
 
Contact presse :
– Kévin Galet, porte-parole, 06.11.98.11.69
– Antonin Le Mée, président, 06.88.76.82.01
– Stéphanie Nicot, vice-présidente, 06.14.69.63.51
– contact@federation-lgbt.org
 
 
 
 

Partout en France, les associations membres de la Fédération LGBTI+ accompagnent des réfugié⋅e⋅s LGBTI qui demandent asile à la France. Ces personnes fuient les persécutions dans leur pays en raison de leur orientation sexuelle, leur identité de genre ou leur expression de genre. Victimes de persécutions dans leur pays d’origine (ostracisation, brimades, viols, meurtre de leur conjoint·e), elles fuient la mort qui les guettait à chaque instant.

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