Que ce soit des entretiens politiques ou bien des rencontres entres associations LGBTI+, le partage est important pour nous !
Ici, vous trouverez nos dernières actions !

La Fédération LGBTI+ est fière d’annoncer l’organisation des 46es Rencontres d’été de la Fédération LGBTI+ par le Centre LGBTI+ de Lyon les 25, 26 et 27 août prochains.

La Fédération LGBTI+ et l’association organisatrice anticipent la participation de plus de 30 délégué·e·s. Elle fédère aujourd’hui près de 20 organismes adhérent·e·s. Ces organismes membres de la Fédération LGBTI+ seront sollicités pour se prononcer sur l’adhésion de deux nouvelles associations lors des prochaines semaines.

Après 20 ans d’existence, la Fédération LGBTI+ se réjouit de l’engouement manifesté pour ces rencontres d’été et de ces nouvelles demandes d’adhésion. Ce succès est en partie attribuable à la campagne « SOS Centres LGBTI+ » qui a abouti à la pérennisation du fonds exceptionnel pour les Centres LGBTI+. Ce fonds, qui atteint désormais 10 millions d’euros, a été prolongé dans le cadre du plan national LGBT+ 2023-2026.

Malgré cette victoire incontestable du mouvement LGBTI+, la question des moyens et de la reconnaissance des Centres LGBTI+ demeure au cœur de nos préoccupations fédérales. La Fédération LGBTI+ entend poursuivre son action au-delà de 2026 pour renforcer durablement les Centres LGBTI+.

Un ordre du jour riche

La publication de la nouvelle Charte des Centres LGBTI+ représente une étape cruciale pour affirmer l’identité singulière des Centres LGBTI+ au sein du paysage associatif LGBTI+ français. L’équipe fédérale prévoit la distribution de cette nouvelle charte, conçue pour être affichée dans tous les Centres LGBTI+ affiliés.

Les associations prévoient également échanger sur plusieurs questions brûlantes lors de ces 46es Rencontres, notamment :

  • Les questions internationales et européennes, notamment à l’approche des élections européennes ;
  • Le droit à l’asile et au séjour des personnes LGBTI+, alors qu’une nouvelle réforme du droit d’asile est aujourd’hui sur la table, avec des implications sur les publics exilés accompagnés par les Centres LGBTI+ ;
  • La réponse associative à la prolifération des discours transphobes de plus en plus violents.

Enfin, ces 46es Rencontres sont l’occasion de mutualiser la réflexion sur le recrutement des bénévoles et de progresser dans les chantiers en cours :

  • La mise en place d’une commission fédérale dédiée à la culture ;
  • La rénovation du plaidoyer fédéral ;
  • La continuation du travail de la commission fédérale éducation, qui travaille sur la sensibilisation en milieu scolaire.

Rencontre de Mme Bérangère Couillard

Récemment nommée ministre déléguée chargée de l’Égalité entre les femmes et les hommes et de la Lutte contre les discriminations, Mme Bérangère Couillard a accepté l’invitation de la Fédération LGBTI+ à rencontrer ses associations membres lors de ces rencontres. Sa venue à Lyon est un témoignage de reconnaissance du travail effectué par les Centres et la Fédération LGBTI+. Ce sera l’opportunité, pour elle, de découvrir diverses structures de terrain, ainsi qu’une facette du paysage militant LGBTI+ en région. Pour les membres de la Fédération LGBTI+, cette rencontre permettra de faire connaissance avec la nouvelle ministre en charge de la lutte contre les discriminations.

Réunis à Biarritz du 24 au 26 février 2023 moins d’un an après l’affaire Cayeux, les associations et Centres LGBTI+ dressent un bilan positif de leur année associative et sont déterminés à franchir une nouvelle étape vers la construction d’un véritable statut pour les Centres LGBTI+.

Un accueil exemplaire par les Bascos et la Ville de Biarritz

Les travaux des Rencontres de la Fédération LGBTI+ ont rarement été si bien accueillis par une association organisatrice et par une municipalité : l’association LGBTI+ Les Bascos et ses antennes béarnaise d’Arcolan et landaise de Nos Couleurs ont été aux petits soins pour nos membres et pour la direction fédérale. 

Contrairement à la mairie de Paris (qui a boudé nos dernières rencontres d’été), la Ville de Biarritz nous a honorés d’un accueil particulièrement chaleureux et a entendu faire de ces Rencontres fédérales une opportunité pour afficher son soutien au mouvement LGBTI+. Très loin du pinkwashing habituel, le Pays Basque et le Sud-Ouest confirment leur longue tradition d’ouverture et de générosité à l’égard du mouvement LGBTI+.

Lim’Bow (Limoges), Marseille et GreyPride France viennent renforcer le réseau fédéral

La Fédération LGBTI+ fédère actuellement la plus grande partie du réseau des Centres LGBTI+  auxquels peuvent s’agréger des associations nationales spécialisées souvent proches de ces Centres. Actifs en Île-de-France comme en Régions, ces associations partagent la même envie de partager leurs expériences, de mutualiser les compétences et de s’engager dans une démarche de réseau.

Après plusieurs années d’étiolement consécutives à la crise sanitaire, la Fédération LGBTI+ enregistre trois nouvelles adhésions. Lim’Bow, association limousine, Pride Marseille et GreyPride, association nationale spécialisée dans les droits des séniors LGBTI.

Fonds Cayeux : du fonds exceptionnel aux subventions pérennes

L’année avait commencé par une orientation nouvelle pour la Fédération LGBTI+ : l’engagement dans la bataille des moyens pour les Centres LGBTI+. En effet, les associations adhérentes partagent ce diagnostic : les Centres LGBTI+ ont des missions de plus en plus larges mais disposent de moyens très faibles dans un contexte de crise du bénévolat. S’ils sont indépendants et sont des structures de la société civile, ils ont besoin que l’État impulse une nouvelle dynamique pour les renforcer.

Suite à l’affaire Cayeux à l’été 2022, la crise politique qui s’ensuivit a poussé le Gouvernement à créer un fonds exceptionnel pour les Centres LGBTI+. Le déploiement de ce fonds a donc fait écho à nos orientations pour l’année 2022. A court terme, les associations et les Centres LGBTI+ ont pu se coordonner et s’épauler pour pouvoir s’engager dans cette démarche. 

Reste qu’à moyen terme, le fonds Cayeux ne permet d’accéder qu’à un fonds exceptionnel déployé sur trois ans seulement. Tout l’enjeu consiste donc, sur cette période, à mener campagne pour convaincre, pour étendre et à pérenniser cet investissement indispensable dans les Centres LGBTI+.

Ainsi, ce weekend, les associations et Centres LGBTI+ ont travaillé à peaufiner les grands documents structurants pour les Centres LGBTI+ et leur Fédération : la plateforme de revendications, la Charte des Centres LGBTI+ et surtout la stratégie du mouvement associatif LGBTI+ autour des Centres LGBTI+.

Pour des Centres LGBTI+ plus résilients

C’est un fait désormais reconnu : les Centres LGBTI+ conduisent des missions très nombreuses avec des moyens trop faibles. Le contexte est même alarmant : avec les crises qui se succèdent à tous les niveaux, les files actives de personnes LGBTI+ ayant besoin d’aide gonflent. Les deux grands enjeux sont les personnes LGBTI+ en situation de demande d’asile et les personnes transgenres qui font l’objet de violences administratives. Mais d’autres missions prennent de l’ampleur : l’appel à la multiplication des interventions en milieu scolaire à un bout de la chaîne générationnelle, la question du “vieillir LGBTI” à l’autre bout.

Pour pouvoir répondre efficacement à ces crises qui affectent les personnes LGBTI+, la communauté LGBTI+ a besoin d’un réseau résilient de Centres LGBTI+, avec des moyens beaucoup plus conséquents qu’aujourd’hui.

Pour la Fédération LGBTI+, nous n’en sommes qu’au début de la bataille des moyens. L’une des pistes clés pour les associations LGBTI : doter les Centres LGBTI+ d’un statut légal, à l’image des Maisons Arc-en-Ciel de la Région Wallonne en Belgique. Ce statut ne devrait pas conduire à placer les Centres LGBTI+ dans le giron de l’État (à l’instar des CIDFF) mais à les inscrire dans les dispositifs sociaux de la société civile (comme les associations familiales). Une stratégie que ces Rencontres ont permis de peaufiner.

De son côté, la Fédération LGBTI+ entend capitaliser sur le fonds Cayeux et sur cette nouvelle dynamique pour asseoir sa fonction de coordination des Centres LGBTI+. En plus de la question de la personne salariée, c’est une direction fédérale entièrement bénévole et à effectifs réduits qui devra répondre à des enjeux nouveaux : repenser ses cadres propres de mobilisation et d’engagement bénévole, asseoir une gestion administrative efficace pour les années à venir et planifier la campagne pour la bataille des moyens.

Pour atteindre ces objectifs, le conseil d’administration se renforce de deux nouvelles et nouveaux adminisateur·ices.

Conseil d’administration : 

  • Président : Jean-Christophe Testu (Landes)
  • Trésorier : Jean-Loup Thévenot (Perpignan)
  • Secrétaire fédérale : Margaux Vibert (Le Mans)
  • Secrétaire fédéral adjoint : Aymeric Martin (Lyon)
  • Porte-parole : Kévin Galet (Nancy)
  • Porte-parole adjoint : Antonin Le Mée (Rennes)
  • Administrateur⋅ices
    • Christel Freund : mutualisation des outils (Perpignan)
    • Beñat Gachen : mutualisation des pratiques et outils (Pays Basque)
    • Franck-Yves Guilbert : relecture, actualisation des informations du site (Pays Basque)

Pour la 45e fois depuis sa fondation, la Fédération LGBTI+ réunit les associations et Centres LGBTI+ lors des Rencontres fédérales qui se tiendront à Biarritz les 24, 25 et 26 février prochains pour tirer le bilan de l’année 2022 et construire les campagnes 2023.

L’événement est organisé par les Bascos, avec le soutien de la Ville de Biarritz et de la DILCRAH. Les délégations venues de tout le territoire métropolitain seront accueillies le vendredi soir par la Ville de Biarritz et participeront aux réunions tout le weekend. Nous attendons également en invité de marque M. Hector Brown, consul des États-Unis d’Amérique dans le Sud-Ouest de la France.

La Fédération LGBTI+ fédère quinze associations et Centres LGBTI+ de France, situés dans des métropoles (Paris, Lyon, Nancy, Rennes…) ou dans des territoires ruraux ou moins densément peuplés (Laval, Le Mans). S’y adjoignent des associations nationales, à l’instar de AIDES (spécialisée sur la santé communautaire). La Fédération LGBTI+ prévoit l’accueil de trois nouvelles associations aux profils très différents.

Lors de ces Rencontres (qui ont lieu deux fois par an), la Fédération LGBTI+ réunit son assemblée générale annuelle. Cette réunion permettra de clore une année particulièrement riche : élection présidentielle, élections législatives, affaire Cayeux et déploiement du fonds Cayeux et épidémie de variole simienne (Monkeypox). En toile de fond, la triste actualité du suicide de Lucas est évidemment dans tous les esprits.

Malgré ce foisonnement d’événements, la Fédération LGBTI+ reste concentrée sur les orientations stratégiques définies lors des Rencontres de Nancy début 2022 : la bataille des moyens pour les Centres LGBTI+, moyens sous-dimensionnés par rapport aux missions d’intérêt général. Les délégations plancheront donc sur les outils et sur les campagnes à venir.

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ECard 44e Rencontres de la Fédération LGBTI+

La Fédération LGBTI+ s’est réunie au Centre LGBTI+ de Paris – Île-de-France ce week-end pour ses Rencontres d’été.

Jean-Christophe TESTU, président de la Fédération LGBTI+, a ouvert les travaux samedi matin. Le militant LGBTI+ issu de Bordeaux et des Landes a rappelé que les Centres LGBTI+ renouaient enfin avec ces Rencontres estivales après trois ans d’absence et une crise sanitaire encore loin d’être résolue. « Ces rencontres sont ambitieuses, car elles traitent des trois piliers de notre travail associatif : les moyens, le plaidoyer et la déontologie ». Des rencontres rythmées par des réunions thématiques sur deux jours et des moments de convivialité.

La bataille des moyens

Réunion des référent·es de la Fédération LGBTI+ accueilli·es par les responsables du Centre LGBTI+ de Paris
Réunion des référent·es de la Fédération LGBTI+ accueilli·es par les responsables du Centre LGBTI+ de Paris

Dès les 43e Rencontres de Nancy l’hiver précédent, les associations membres avaient adopté une motion pour engager la bataille des moyens pour les Centres LGBTI+.

Le constat est unanimement partagé au sein des Centres LGBTI+. Animés par une culture du militantisme et du bénévolat, les Centres LGBTI+ disposent de moyens sous-dimensionnés par rapport à leurs missions d’intérêt général : prévention des discriminations et action éducative, accompagnement des victimes, solidarité vis-à-vis des demandeur·ses d’asile LGBTI+, promotion de la santé selon une démarche communautaire, accueil inconditionnel, etc. La Fédération LGBTI+ entend promouvoir cette identité commune des Centres LGBTI+ autour de missions d’intérêt général, qui transcende la diversité des pratiques, des cultures associatives et des publics des Centres LGBTI+.

L’atelier mené par Hervé Latapie (administrateur et militant historique du Centre LGBTI+ de Paris-Île-de-France), a pu confirmer ce diagnostic. En comparant les budgets et le fonctionnement des Centres LGBTI+ de France avec ceux de structures françaises ou étrangères (notamment les « Maisons Arc-En-Ciel » en Wallonie), le constat est sans appel : « En France, les Centres LGBTI+ sont des associations à petits budgets, avec de gros besoins impossibles à couvrir dans les conditions actuelles. Le sujet des budgets de fonctionnement devrait être mis sur la table systématiquement. Cela ne doit pas empêcher les associations de faire preuve de créativité ! » Organisation de loteries à Bordeaux, gestion rigoureuse de la trésorerie à Perpignan, vente de goodies à Paris, rigoureuse comptabilité analytique à Nancy, proposition de mutualisation des achats depuis Rennes, etc. : les Centres LGBTI+ ne manquent pas d’idées !

Un autre sujet connexe est revenu sur la table : celui des salarié·es des Centres LGBTI+. « Les jeunes générations ne sont pas disposées à s’engager de la même façon que les anciennes générations », constate Beñat Gachen (représentant de l’association « les Bascos », association LGBTI+ du Pays Basque).

Un constat partagé : les jeunes adultes militent volontiers dans les Centres LGBTI+ mais leur vie est davantage marquée par la précarité et leur conception du militantisme est plus volatile. Par ailleurs, tout modèle reposant sur le bénévolat expose les associations aux aléas personnels et de santé, aux contraintes d’agenda… « Dans ces conditions, ajoute-t-il, disposer de personnels de façon pérenne – y compris à des postes de direction – devient vital pour les structures ».

Pour engager la bataille des moyens, les pistes ne manquent pas. Mais elles supposent que les Centres LGBTI+ poursuivent leurs échanges de bonnes pratiques, mutualisent les moyens et mènent une action de fond. La Fédération LGBTI+ entend ainsi porter publiquement et fortement la question des moyens pour financer le fonctionnement de structures de solidarité incontournables. Les moyens des Centres LGBTI+ sont donc appelés à devenir un élément essentiel du plaidoyer commun des Centres LGBTI+.

Au cours du mois d’août, les échanges seront synthétisés pour produire des supports pour la gestion des subventions et de la trésorerie, ainsi qu’un dossier pour la demande de financement d’un poste de salarié.

Visite de Sophie Élizéon, silence de la Ville de Paris

Réunion des référentEs de la Fédération LGBTI+ avec Sophie Elizéon au Centre LGBTI+ de Paris
Sophie Élizéon rencontre les référent·es de la Fédération LGBTI+ au Centre LGBTI+ de Paris

La Fédération LGBTI+ a eu l’honneur de recevoir Sophie Elizéon, préfète en charge de la DILCRAH, pour échanger sur les politiques publiques LGBTI. Les référent·es de la Fédération LGBTI+ ont interrogé Mme la Préfète sur les orientations de la DILCRAH, en particulier sur le montant et sur la répartition du budget dédié à la lutte contre les discriminations anti-LGBTI+. Nous avons pu aborder d’autres sujets d’actualité, notamment le positionnement de la DILCRAH et du conseil scientifique sur la question des mineur·es transgenres. La Fédération LGBTI+ est sortie confiante de cet échange.

La Ville de Paris n’a pas répondu favorablement aux sollicitations de la Fédération LGBTI+ pour échanger, notamment sur la question du Centre d’archives. Une absence remarquée et regrettée, car la Fédération LGBTI+ est très attentive à l’attitude des municipalités vis-à-vis des Centres LGBTI+. Si l’organisation de nos Rencontres à Paris est une première historique, c’est aussi la première fois qu’une municipalité boude ainsi des militant·es LGBTI+ venu·es de tout le pays, de Bayonne à Saint-Avold.

Revendications partagées et questions éthiques

Le travail sur les revendications partagées a occupé une bonne partie des travaux de la Fédération LGBTI+ depuis le confinement. Si la crise sanitaire a beaucoup ralenti les équipes, le travail a pu reprendre et les revendications prennent forme. Les référent·es y ont consacré leur première demi-journée, sur l’ensemble des textes et sur le texte consacré à la Gestation Pour Autrui (la Fédération LGBTI+ a pris position depuis près de 10 ans en faveur de la légalisation de la GPA dans un cadre éthique).

Post-it avec les idées des référent·es au cours de l'atelier sur l'hétérogénéité
Les référent·es ont réfléchi ensemble aux situations concrètes des Centres LGBTI+, en particulier quand des publics différents doivent cohabiter

Une partie des travaux a été consacrée aux enjeux éthiques du bénévolat dans les Centres LGBTI+, en particulier face à l’hétérogénéité des publics, que ce soit en termes de générations de militant·es, de trajectoire personnelle, de vocabulaire, etc. Les Centres LGBTI+ ont pu mettre en évidence les frictions et les atouts d’une telle situation, et la ligne de conduite à adopter, centrée sur l’humain, le vivre-ensemble et les intérêts communs de la communauté LGBTI+ dans sa diversité.

Ce fut également l’occasion de travailler sur un enjeu d’actualité : celui de l’éthique du consentement et les réponses à des situations concrètes – parfois délicates – rencontrées par les bénévoles des associations. Loin des polémiques médiatiques autour du consentement ou des violences sexuelles et sexistes, les bénévoles des Centres LGBTI+ ont pu échanger et réfléchir ensemble, pour analyser des situations de vie quotidienne et y répondre avec lucidité et discernement.

Les Rencontres ont été l’occasion pour les référent·es de bénéficier d’une visite guidée du Marais par Hervé Latapie, ainsi que de moments de partage et de convivialité. Les Rencontres d’Été se sont conclues sur le calendrier du second semestre 2022. Les référent·es de la Fédération LGBTI+ se sont donné·es rendez-vous à la fin du mois de février pour les Rencontres d’Hiver au Pays basque.

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Après bien des reports, les Centres LGBTI+ de France se sont rassemblés à Nancy à l’initiative d’Equinoxe (Centre LGBTI+ de Lorraine),  lors des Rencontres bisannuelles de la Fédération LGBTI+, pour travailler sur leurs revendications communes et désigner leur nouvelle équipe fédérale.

La Fédération LGBTI+ rassemble 14 associations actives sur l’ensemble du territoire  : ADHEOS (Poitou-Charentes), Aides, l’Association Nationale Transgenre, le Centre LGBTI+ de Vendée (Pays de la Loire), le Centre LGBTI de Lyon (Auvergne-Rhône-Alpes), Equinoxe (Grand Est), Centre LGBTQI+ de Paris – Île-de-France, le Girofard Bordeaux (Nouvelle Aquitaine), Homogène Le Mans (Pays de la Loire), Iskis Rennes (Bretagne), La Gom 53 (Pays de la Loire), LGBT+66 (Occitanie), les Bascos, Nos Couleurs et Arcolan (Nouvelle Aquitaine) et Quazar Angers (Pays de la Loire).

Lors de cette Assemblée Générale, les référent-es ont clarifié leur fonctionnement collectif après avoir surmonté au mieux la crise sanitaire. À l’approche des élections présidentielle et législatives, la priorité s’est portée sur l’élaboration d’un panel de revendications et de propositions pour la prochaine mandature. 

Ils ont désigné sept nouvelles et nouveaux administrateurs issus de tout le pays, L’Assemblée Générale a salué le départ volontaire de Jérémy BAUDOIN (Equinoxe Nancy), Stéphanie NICOT (Association Nationale Transgenre) et d’Elian BARCELO (Iskis Rennes), après plusieurs d’années d’engagement au sein du Conseil d’administration. Ils continueront néanmoins à s’investir dans des commissions dédiés au sein de la Fédération LGBTI+.

La composition du Conseil d’Administration est la suivante::

  • Jean-Christophe TESTU, Président, il/lui
  • Margaux VIBERT, Secrétaire, elle
  • Antonin LE MÉE, Secrétaire-adjoint, il/lui
  • Jean-Loup THEVENOT, Trésorier, il/lui
  • Kévin GALET, Porte-parole, il/lui
  • Bernard GACHEN, Administrateur, il/lui
  • Franck-Yves GUILBERT, Administrateur, il/lui.

Mathieu KLEIN (maire de Nancy) est intervenu en visioconférence lors de ces Rencontres pour saluer les participant-es, comme soutien élu et soutien historique aux causes LGBTI+.

www.federation-lgbti.org

Contacts
Kévin GALET
Porte-parole

Le weekend dernier se tenaient les 35es Rencontres de la Fédération LGBT à Nantes, accueillies par le Centre LGBT de Nantes.

Deux fois par an, les associations membres de la Fédération LGBT se retrouvent pour coordonner leurs actions, partager leurs actualités et leurs connaissances.

La Maire de Nantes, Johanna Rolland, est venue affirmer son engagement.

Les candidatures de deux associations ont été validées par les membres : le Centre LGBTI de Lyon et La Gom’53 de Laval rejoindront donc le réseau.

La Fédération LGBT tenait ses 34es Rencontres semestrielles à Nancy ce weekend. C’est l’association Équinoxe, Centre LGBT Lorraine-Sud, aidée de l’Association Nationale Transgenre, qui accueillait les délégué·e·s des associations membres de la Fédération LGBT dans leur ville. L’excellente ambiance qui a régné doit beaucoup à la solide organisation et à la gentillesse des bénévoles. Le Conseil d’Administration souhaite leur adresser ses remerciements.

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Ce week-end des 6 et 7 février 2016 se tenait à Bordeaux l’Assemblée générale annuelle de la Fédération LGBT. C’est le centre LGBT d’Aquitaine, le Girofard, qui accueillait les déléguée·e·s des associations membres venu·e·s de toute la France pour ces Rencontres nationales d’hiver. Nous remercions toute l’équipe du Girofard pour son accueil chaleureux et la qualité de l’organisation.

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