- inquiétude sur l’augmentation des nouvelles contaminations VIH chez les HSH, mais au regard de cela, opportunité et appel très large à redéfinir le paradigme de la prévention à l’aide de nouveaux outils dont nous saluons l’arrivée ;
- tristesse et indignation face aux parlementaires discriminants ;
- nouvelles possibilités offertes pour réussir une vraie baisse des contaminations VIH, vers l’éradication désormais envisageable.
Archive pour l'année : 2015
- Aussi, l’ensemble des associations homosexuelles françaises demande au gouvernement tunisien :
- Au gouvernement français, l’ensemble des associations homosexuelles françaises demande :
Le TDoR (Transgender Day of Remembrance), Journée du souvenir transgenre, est un événement international qui rend hommage aux trop nombreuses victimes de transphobie. Chaque année, des centaines de personnes transgenres sont assassinées ou poussées au suicide dans une totale indifférence des pouvoirs publics.
Ce sont 271 assassinats à raison de l’identité de genre des victimes qui ont été enregistrés dans le monde entre le 1er octobre 2014 et le 30 septembre 2015. À ce nombre effrayant s’ajoutent les innombrables victimes non comptabilisées. En effet, la transphobie ne constitue pas, dans la quasi totalité des pays, une circonstance aggravante ou un motif spécifique de discrimination. La France n’y pas exception.
La transphobie ne se limite pas aux meurtres, aux agressions physiques et sexuelles. La discrimination des personnes transgenres passe aussi par leur exclusion du système scolaire, de l’emploi, du logement, de la santé ou de l’exercice de sa citoyenneté.
Cette exclusion est organisée par l’État et ses services qui refusent de délivrer des papiers d’identité protégeant la vie privée des personnes transgenres. La France, qui donne des leçons de « droits de l’Homme » à la planète entière, continue à s’opposer au changement d’état civil libre, gratuit et sur simple déclaration.
Plusieurs associations membres de la Fédération LGBT se mobilisent pour le TDoR 2015, notamment :
- Association Nationale Transgenre à Metz
- CLGBT Nantes
- CGLBT Rennes
Contact :
Stéphanie Nicot, présidente
Antonin Le Mée, vice-président
- Dominique GANAYE, porte-parole & référent santé
- Dominique GANAYE, porte-parole & référent santé contact@federation-lgbt.org
- SOURCE COMMUNIQUE DE PRESSE
- Stéphanie NICOT, présidente
- Dominique GANAYE, porte parole
Ce mercredi 23 septembre est la journée annuelle internationale pour la visibilité de la bisexualité et des personnes bisexuelles.
Si la lettre « B » est installée dans le sigle désormais bien connu « LGBT » (Lesbiennes, Gays, Bis, Trans), il n’en est pas autant de la bisexualité dans les consciences. Cette orientation sexuelle est encore trop souvent niée, moquée ou associée à des stéréotypes très négatifs.
Les personnes bisexuelles s’en retrouvent exposées à des discriminations méconnues dans de nombreux aspects de leur vie. La Fédération LGBT regrette par exemple le peu de prise en compte de la bisexualité dans le domaine de la santé. Cela a des répercussions sur les programmes de prévention et sur la prise en charge des personnes par les professionnel·le·s de santé. Comment ne pas non plus relever que la biphobie vient parfois s’exprimer jusque dans le couple d’une personne bisexuelle ? Les violences conjugales motivées par la biphobie sont en effet mal connues mais pourtant répandues.
Il est grand temps de prendre en compte et de mieux respecter les personnes bisexuelles et leurs spécificités. La Fédération LGBT encourage la lecture du Manifeste bi, écrit par l’association Bi’cause : http://bicause.webou.net/IMG/pdf/manifeste-francais-des-bisexuels.pdf.
La bisexualité et les personnes bisexuelles existent.
La biphobie est réelle et ses conséquences aussi.